À la suite de la crise sanitaire, la guerre en Ukraine fait constamment la Une de toutes les actualités. Elle provoque inévitablement la migration des réfugiés, sur le plan continental et international. Le manque d’informations bien précises, dans le cadre du droit international, peut mener les réfugiés à des erreurs irrévocables.
Le droit en matière de protection pour les réfugiés
Il existe un certain nombre d’instruments juridiques qui protègent les réfugiés. Leur statut est englobé par le droit international, selon la convention de Genève, en 1951, dans la zone européenne. Par ailleurs, d’autres instruments, tels que la convention de l’Union africaine et la déclaration de Carthagène, sont mis en œuvre sur le plan intercontinental. D’autres encore, comme les Droits de l’Homme, dans sa Déclaration Universelle, et les pactes internationaux peuvent aussi être saisis.
Compte tenu de l’existence de tous ces instruments, les réfugiés peuvent profiter d’une protection sur toute la facette, en particulier au niveau du HCR. Ce dernier constitue une institution internationale qui s’opère dans le cadre protecteur des réfugiés. Il apporte davantage de soutien, en matière de solution et d’assistance. Lors d’une protection et d’une assistance, les réfugiés, comme ceux de l’Ukraine, peuvent profiter d’un rapatriement, d’une réinstallation ou d’une intégration.
Le droit des migrants concernant la protection
À l’instar des réfugiés, les migrants, eux aussi, peuvent profiter d’une protection par le biais de différents instruments juridiques internationaux. Parmi les conventions internationales les plus saisies, on reconnaît la lutte contre la discrimination raciale. De toute manière, le recours varie en fonction de la pertinence du fait. Le Pacte international peut être utilisé dans les droits culturels, civils, sociaux, économiques et politiques. Il existe même une convention qui protège le droit des femmes de toute forme de discrimination. En faisant face à une telle situation, faire appel à l’aide d’un expert juridique, comme sur le site sos-justice.net, est l’unique et la meilleure issue.
Par ailleurs, la situation des migrants irréguliers est plutôt délicate, au sein de certains pays à l’extérieur de l’Europe. C’est parce qu’ils ne disposent d’aucune loi qui régit les migrants irréguliers. Il convient de noter qu’une personne, qui possède une personnalité juridique, a constamment ses droits. Certaines conventions, notamment la N143, et recommandations, telles que la N151, font l’objet d’une protection des travailleurs migrants irrégulièrement, face aux abus.
La différence entre la protection des migrants et des réfugiés
Afin de distinguer les réfugiés des migrants, il est important de considérer plusieurs critères. Cela concerne particulièrement la finalité, car les réfugiés sont obligés de quitter leur pays, en vue d’une protection spécifique. En revanche, les déplacements des migrants sont volontaires, dans la recherche d’une vie meilleure.
Une autre différence réside sur les circonstances, puisque les réfugiés disposent d’une situation circonstancielle et brusque. Quant aux migrants, ils ont une situation plutôt programmée et calculée. Il s’agit alors d’un acte attendu et voulu. Dans le cas de la guerre en Ukraine, la plupart des réfugiés choisissent les pays frontaliers, principalement la Pologne, pour profiter d’une protection. Les migrants, à l’inverse, se déplacent souvent d’un continent à l’autre.